78 % des personnes interrogées sont incapables de citer une seule aide financière pour mener à bien leur travaux de rénovations énergétiques. C’est ce qui ressort du dernier sondage OpinionWay.
Parmi les régimes les plus connus figurent le crédit d’impôt/CITE, cité par 7% des répondants. Puis les subventions fournisseurs (5%), y compris la prime énergie, les subventions des grands distributeurs (Leclerc, Auchan…). Viennent ensuite les aides de l’ANAH (connues de 3% des répondants), du PTZ (2%), de l’ADEME (2%), les aides d’Etat, régionales ou départementales (2%)…. Aucun d’entre eux ne mentionne, par exemple, les “bons d’énergie”, qui peuvent atteindre 200 euros par an en moyenne.
Pourtant, l’amélioration de la qualité du parc immobilier est devenue une priorité nationale. Plus de la moitié des foyers français seraient des passoires énergétiques : environ 15 millions (sur 34 millions en France) sont classés dans les pires catégories E, F ou G du point de vue énergétique en 2017, selon l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME). Et devrait donc être rénové.
*Les prix sont indiqués en TTC. Source Qualitel.
*Etude réalisée sur un échantillon de 2.098 Français représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.